Après avoir été grand reporter au Figaro Magazine puis pour Géo, Christiane Rancé s’est consacrée à l’écriture, tout en continuant ses voyages et ses collaborations avec la presse. Elle signe dans la Revue des Deux Mondes, le Monde des Religions, la revue Histoire et Civilisations, et à La Croix où elle a tenu une chronique hebdomadaire de 2019 à juillet 2022. Elle écrit des reportages axés sur la géopolitique, la culture, art et histoire (en Europe, Inde, Afrique et Amérique latine) ainsi que de grands portraits tels que ceux de Cervantès, Charles de Foucauld ou René Girard.

Son premier roman, On ne fait que passer, publié chez NiL en 1999 a été un best-seller. Par la suite, Christiane Rancé a publié un essai Jésus chez Gallimard puis, au Seuil, les biographies de figures littéraires tels Simone Weil et Léon Tolstoï. À son sujet, Franz-Olivier Giesbert a écrit, dans Le Point : « Je mets au défi quiconque a commencé ce livre de ne pas le terminer dans l'urgence, le souffle coupé. C'est la magie Rancé : sa passion est communicative. »

Son livre sur Thérèse d’Avila a été couronné par le prix de l’essai de l’Académie française, et ses Carnets spirituels par le Prix de l’Humanisme chrétien. Son essai sur la prière, publié au Seuil Prenez moi tout mais laissez-moi l’extase a reçu le prix Panorama/La Procure et le Prix des écrivains croyants.

En 2019, elle publie un Dictionnaire amoureux des saints chez Plon. Enfin, en 2021, un récit romanesque consacré au voyage Le Grand Large, couronné par le prix Etienne de la Boétie. Bella Italia, une évocation amoureuse de l’Italie, convoque les grandes figures de l’art et de l’histoire de la Péninsule et avec elles, ses plus beaux paysages et les rencontres que trente années de voyages dans ce pays l’ont amenée à faire.

Christiane Rancé est par ailleurs souvent invitée à donner des conférences sur les sujets qui lui tiennent à cœur, et qu’elle a traités dans ses livres.

Langues parlées : français, anglais, espagnol, et notions d’italien

Crédit photo : Christiane Rance